Le temps des élections passé, reste un sentiment pour de nombreux électeurs d’une présidentielle ratée !
La France n’a toujours pas choisi, le débat d’entre deux tours n’était pas à la hauteur des enjeux et n’est pas allé au bout de ce qu’il convient de faire pour redresser notre pays.
Un débat décevant et réduit à sa plus simple expression, presque caricatural et pas à la hauteur des réformes et des menaces qui pèsent sur le pays.
Un exécutif autocratique composé de technocrates et une chambre d’enregistrement composée de candidats « internet » qui se veut « nouvelle politique » composée de novices.
On a voulu tout changer et on a éconduit les « politiques » pour la technocratie, une technocratie avec un gout prononcé pour les matières « financières » et très peu de débats de fond, de débats sociétaux.
Un raccourci politique en forme de zapping qui a permis de jeter le bébé et l’eau du bain « les tous pourris » renforçant les pouvoirs technocrates en particulier celui de Bercy qui prend la main sur tous les sujets de société.
La politique se résume depuis les élections à une facture et à qui va devoir la payer.
Un horizon qui nous amène dans une société que la France rejette majoritairement, car son modèle historique impose de la créativité dans un monde qui va bousculer notre modèle social.
Ce modèle social est le ciment de notre république et de notre nation, l’essence même de notre solidarité.
Changer il le faut, chacun le sent bien, en même temps, ce changement doit s’opérer dans une espérance de progrès collectif qui respecte notre culture et notre histoire.
Sur ce point, tout reste à faire pour le nouvel exécutif.