La crise du coronavirus : pour envisager construire le monde d’après, il faudra, le moment venu solder collectivement le monde actuel !

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Déjà ça et là, on perçoit des volontés d’initiatives qui commanderaient à construire le monde d’après !
Surprenant quand on sait combien la situation actuelle est confuse et que personne n’est capable d’évaluer à ce jour une esquisse de bilan sanitaire, économique et social.
D’ailleurs aucun expert, de ceux qui conseillent actuellement les décideurs n’ont jamais prévus cette situation, ni aucunes autres.

Une illustration de ce monde actuel devenu incertain amène au moins une certitude sur ce monde : les bourses mondiales restent ouvertes malgré la pause économique imposée par la dangerosité de la propagation du coronavirus.
Les bourses qui restent ouvertes dans le contexte actuel n’a plus de sens.
On vient de découvrir que le virus pourrait se propager à 4 mètres : tout est donc à repenser.

Le procès « Nuremberg » va devoir avoir lieu pour solder le monde actuel.

Il faut faire l’inventaire total et exhaustif avant de proposer des solutions, sans quoi elles seront inopérantes.
Les errements, les erreurs d’appréciations, les politiques actuelles, le comportement de communiquant de nos représentants est inopérant dans le réel.

Une nouvelle technocratie ne pourra pas remplacer la technocratie actuelle.

Pour notre nation, nous assistons à la faillite de nos représentants, de notre administration et de nos élites incapables d’anticiper, au-delà nos dirigeants sont incapables de retrouver de l’efficacité sur la commande des produits sanitaires de nécessité urgente et vitale à savoir :
– des tests
– des masques

Pire ils poursuivent leur stratégie de communication en parlant de « commandes » sans préciser le délai de livraison et la réalité de la faisabilité réelle.
Le Président Macron ne peut d’aucune manière que ce soit incarner ou être l’artisan de ce monde d’après, il devra assumer son rôle et sa responsabilité actuelle et elle est immense. Il est l’incarnation et le représentant du système à remplacer.
Le politique doit commander à la technocratie, un chef d’état doit agir dans l’abnégation de son ego, être uniquement prêt à servir. Tout le contraire du petit tour de manège médiatique journalier.
Des actes quotidiens pour amener des résultats plutôt que des images et des discours médiatiques sans résultats concrets en permanence pour flatter son égo.
Les argumentations autour de la faute portée par ces prédécesseurs deviennent insupportables.
Il n’est plus raisonnable de « collaborer » avec ce pouvoir qui utilise les bonnes volontés et ceux qui tiennent encore le pays pour durer alors qu’ils ne servent plus leur rôle que nous attendons d’eux mais bien leur propre devenir.
Les responsabilités devront être nommées pour ne pas être reproduites, condition sine qua non pour formuler les propositions et solutions du monde d’après.

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