Béziers : la situation économique se dégrade bel et bien malgré les incantations !

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Béziers va certainement perdre sa CCI !
Pourtant ce n’est pas faute d’avoir interpellé le Maire lors des conseils municipaux de Juillet et de Septembre mais lui a jugé la question « pas d’actualité » pour cause de propagande en cours…

Pour toute forme de solution le Maire envisage désormais le rachat des locaux de la CCI, ce sont donc les biterrois qui vont être doublement pénalisés, d’une part par la perte d’un acteur du développement économique et d’autre part par le biais du rachat de cet immeuble qui va les endetter, c’est à eux de payer sur leurs propres deniers…

Ce rachat ne règle rien et endette la ville !
Comme pour les galeries Lafayette, le Maire confond immobilier et développement économique.

Il demande aux biterrois de se substituer à des entreprises privées pour payer des locaux à leur usage alors qu’ils quittent la ville.
Il demande aux contribuables biterrois de se substituer à des décisions politiques pour lesquelles ils ne sont en rien responsables !

Peut-être le Maire sait-il en fait, qu’au-delà de l’apparent discours de neutralité politique du Président de la CCI, celui-ci en plus de fournir les blouses scolaires à la ville de Béziers a œuvré politiquement au soutien du Maire apparenté FN de Béziers.

Cela a pu se vérifier lors de l’invitation du Maire de Toulouse à Béziers qui constituait une véritable opportunité politique et économique pour Béziers.

Le Maire de Béziers et le Président de la CCI de Béziers n’ont eu de cesse d’essayer de torpiller cette manifestation qui visait à accueillir le Maire de Toulouse dans l’optique de futures relations économiques, qui malgré leurs interventions a heureusement bien eu lieu.

Dans ce contexte bien que nous fassions le maximum pour soutenir l’institution (moi-même au conseil municipal et le groupe DVD de l’agglomération que je préside), il ne faut pas s’étonner des décisions politiques que nous subissons !

Ce n’est pas pour ces mauvais choix et leurs options politiques qu’il faut désormais demander aux biterrois de mettre la main au portefeuille pour assumer ces choix dont ils ne sont en rien responsables.

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