Appel du RPF : Le Rassemblement Pour la France c’est l’inversion du déclin !

Appel du RPF : Le Rassemblement Pour la France c’est l’inversion du déclin !

Il ne peut se faire que si chaque citoyen est prêt à donner au pays pour permettre à notre nation de retrouver sa place au sein des nations du monde plutôt que de savoir ce que l’Etat peut lui donner par rapport au rang qu’il occupe parmi ces concitoyens.

Depuis plus de 30 ans les gouvernements se succèdent et n’arrivent pas à éviter le déclin de notre pays dans un monde en mouvement qui pourtant se développe.

Nous assistons à un déclin moral, politique, économique et sociétal.

La France indépendante, autosuffisante a été par idéal « progressiste » intégrée à l’Europe technocratique. Notre défense et notre indépendance militaire intégrée à l’OTAN.

Même lorsque les Français ont voté contre cette Europe supranationale, elle leur a été imposée par la classe dirigeante parce que « nous n’avions pas le choix ».

La France est tiraillée dans ces contradictions entre modernité et conservatisme.

Cette logique nous impose de manière subliminale que « être à gauche » c’est lutter pour le bien de l’humanité, alors que « être de droite » c’est soutenir les conservatismes.

Cette logique alimentée par les médias nous amène à une logique du bien contre le mal.

Le bien c’est être « progressiste », le mal c’est d’être « conservateur ».

Le raccourci est en place : La gauche représenterait le bien et la droite le mal.

Le progressisme socialiste nous apporte des réformes majeures :

-l’élargissement de l’institution du mariage à de nouvelles communautés sexuelles « mariage pour tous »

-l’indemnisation des enfants étrangers de polygames par la caisse d’allocation familiale (sécurité sociale)-décret consultable publié sur mon blog-

-la dépénalisation du cannabis pour des usages dit « thérapeutiques » (décret en fin de texte)

Sous prétexte de progressisme, d’égalité, les socialistes s’attaquent à des piliers de notre société. Ils cassent les digues, permettent ce qui n’étaient pas permis et apportent le progrès à notre société.

Quels progrès ?

Derrière ces principes totalement idéologiques apparaissant comme progressistes les questions essentielles ne sont pas posées de leurs applications dans la durée et de leurs conséquences ?

Ne dit-on pas que l’enfer est pavé de bonnes intentions ?

Concernant l’indemnisation des parents polygames mesure-t-on dans la durée l’impact sociétal, l’impact financier et l’impact sur les nombreuses populations souhaitant venir vivre sur notre territoire ?

Bien entendu non !

Mais c’est bien et moralement et confortable de se dire de gauche et de défendre l’égalitarisme.

Concernant le mariage pour tous, avons-nous évalué dans la durée l’impact de cette mesure pour les enfants, avons-nous mis les enfants au sein du débat ?

Bien entendu non !

Mais c’est bien de montrer à une minorité que notre société est capable de lui donner les mêmes droits que la majorité et donc gain de cause.

Concernant la dépénalisation du cannabis, la mise en place de salle de shoot, avons-nous évalué l’impact de ces mesures ?

Les populations sont-elles d’accord avec l’imposition à proximité de leur lieu de vie de salles de shoot ?

Le cannabis est-il devenu bon pour la santé ?

Bien entendu non !

Mais c’est aussi cela le progressisme idéologique, ne pas se préoccuper des résistances de la société des classes moyennes et supérieures égoïstes qui ne font pas d’efforts pour les autres catégories de la populations qu’il faut aider et soutenir.

L’idéologie progressiste s’est propagée dans notre société de telle manière que même l’UMP cherche à se tourner vers son centre et sa gauche car être de droite est mal vu, être de droite c’est mal.

Pendant ce temps, l’exaspération monte dans le pays, le déclin ne fait que continuer et chacun y est confronté à sa manière.

La bien-pensance idéologique progressiste de gauche s’impose, s’attaque aux piliers de la société.

Le décrochage « classe dirigeante, médias » n’a jamais été aussi important avec la population.

Celle ci ne se retrouvant plus dans ces grandes théories fumeuses qui n’apportent rien de bon dans la durée, se tourne vers les populistes, ceux qui disent les comprendre.

Cette attitude, cette gouvernance actuelle ne fait qu’accélérer ce mouvement.

Au RPF nous ne souhaitons pas que cette situation se pérennise, nous ne voulons pas des réponses populistes faciles et nous ne voulons pas des idéologies gauchistes qui s’attaquent à la société.

Nous ne voulons pas des radicalismes qui sont actuellement en train de se développer.

Nous refusons que la droite soit assimilée au mal et la gauche au bien.

Cette stratégie médiatique et politique de gauche nous projette dans une société de la tyrannie idéologique !

L’égalité ce n’est pas l’égalitarisme, le nivellement vers le bas.

La république doit assurer la méritocratie, l’ascenseur social plutôt que le RSA.

Pour cela il convient de retrouver du courage politique et de réformer ce qui doit l’être en protégeant ce qui constitue le socle de notre communauté et ce qui fait de nous les citoyens Français.

Le RPF c’est la résistance aux logiques politiques idéologiques socialistes, la résistance à une droite qui se tourne vers la gauche « parce que ça le fait », la résistance à une tentation populiste et extrémiste de droite que le Général a toujours combattu.

Le RPF défend l’indépendance de la France, son identité, sa nation.

Le RPF défend l’autorité de l’Etat et l’égalité des citoyens.

Le RPF prône la responsabilité des citoyens et le respect de chacun des ces droits et de ces devoirs.

Le Rassemblement Pour la France c’est l’inversion du déclin !

Il ne peut se faire que si chaque citoyen est prêt à donner au pays pour permettre à notre nation de retrouver sa place au sein des nations du monde plutôt que de savoir ce que l’Etat peut lui donner par rapport au rang qu’il occupe parmi ces concitoyens.

Brice Blazy

Coordinateur RPF Ile de France

 

 ANNEXE :

 DECRET AUTORISANT LE CANNABIS POUR USAGE THÉRAPEUTIQUE 

JORF n°0130 du 7 juin 2013 page 9469
texte n° 13
DECRET
Décret n° 2013-473 du 5 juin 2013 modifiant en ce qui concerne les spécialités pharmaceutiques les dispositions de l’article R. 5132-86 du code de la santé publique relatives à l’interdiction d’opérations portant sur le cannabis ou ses dérivés
NOR: AFSP1308402D

Publics concernés : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé ; titulaires d’autorisation de mise sur le marché ; entreprises ou organismes exploitant un médicament ou un produit mentionné à l’article R. 5121-150 du code de la santé publique ; professionnels de santé ; pharmaciens exerçant dans les pharmacies à usage intérieur des établissements de santé ; pharmaciens d’officine.
Objet : permettre la délivrance d’une autorisation de mise sur le marché à des médicaments contenant du cannabis ou ses dérivés, conformément à la directive 2001/83/CE du Parlement européen et du Conseil du 6 novembre 2001 instituant un code communautaire relatif aux médicaments à usage humain.
Entrée en vigueur : le présent décret entre en vigueur le lendemain de sa publication.
Notice : le texte modifie l’article R. 5132-86 du code de la santé publique pour permettre au directeur général de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé d’octroyer une autorisation de mise sur le marché à des spécialités pharmaceutiques à base de cannabis ou ses dérivés et autoriser les opérations de fabrication, de transport, d’importation, d’exportation, de détention, d’offre, de cession, d’acquisition ou d’emploi relatives à ces spécialités.
Références : les dispositions du code de la santé publique modifiées par le présent décret peuvent être consultées, dans leur rédaction résultant de cette modification, sur le site Légifrance (http://www.legifrance.gouv.fr).
Le Premier ministre,
Sur le rapport de la ministre des affaires sociales et de la santé,
Vu le règlement (CE) n° 726/2004 du Parlement européen et du Conseil du 31 mars 2004 établissant des procédures communautaires pour l’autorisation et la surveillance en ce qui concerne les médicaments à usage humain et à usage vétérinaire, et instituant une Agence européenne des médicaments ;
Vu la directive 2001/83/CE du Parlement européen et du Conseil du 6 novembre 2001 instituant un code communautaire relatif aux médicaments à usage humain ;
Vu le code de la santé publique, notamment ses articles L. 5132-1, L. 5132-8 et R. 5132-86 ;
Le Conseil d’Etat (section sociale) entendu,
Décrète :

Article 1 En savoir plus sur cet article…
L’article R. 5132-86 du code de la santé publiqueest ainsi modifié :
1° Devant le premier alinéa, il est inséré un I ;
2° Devant le quatrième alinéa, il est inséré un II ;
3° Après le cinquième alinéa, il est ajouté un III ainsi rédigé :
« III. ― Ne sont pas interdites les opérations de fabrication, de transport, d’importation, d’exportation, de détention, d’offre, de cession, d’acquisition ou d’emploi, lorsqu’elles portent sur des spécialités pharmaceutiques contenant l’une des substances mentionnées aux 1° et 2° du présent article et faisant l’objet d’une autorisation de mise sur le marché délivrée en France conformément aux dispositions du chapitre Ier du titre II du présent livre ou par l’Union européenne en application du règlement (CE) n° 726/2004 du Parlement européen et du Conseil du 31 mars 2004 établissant des procédures communautaires pour l’autorisation et la surveillance en ce qui concerne les médicaments à usage humain et à usage vétérinaire, et instituant une Agence européenne des médicaments. »

Article 2 En savoir plus sur cet article…

La ministre des affaires sociales et de la santé est chargée de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 5 juin 2013.
Jean-Marc Ayrault
Par le Premier ministre :
La ministre des affaires sociales
et de la santé,
Marisol Touraine

 

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